Des scientifiques de l’EPFL ont perfectionné leur modèle NeuroMechFly, capable de simuler les déplacements de drosophiles dans le monde réel. Grâce à l’intégration de la vue et de l’odorat, cet outil aide à comprendre les interactions entre le cerveau et le corps, ouvrant la voie à davantage de synergies entre neuro-ingénierie, robotique et IA.