Exposition 30 Septembre – 18 Octobre 2019
École Polytechnique Fédéral de Lausanne, Foyer SG
Vernissage Lundi 30 septembre, 18:00
Table ronde avec la participation de Giulio Barazzetta et Jacques Lucan, animée par Luca Ortelli
Lundi 7 octobre, 18:00
Table ronde avec la participation d’Eric Lapierre, Yvan Delemontey, Marie Le Drean et Jonas Kuratli, animée par Luca Ortelli
Mardi 15 octobre, 18:00
Le motif du Patio dans les logements “musulmans” de Fernand Pouillon en Algérie, par Pierre Frey, Daphné Bengoa et Bernard Gachet
Direction et organisation : Giulio Barazzetta, Dip. di Architettura, Ingegneria delle Costruzioni e Ambiente Costruito, Politecnico di Milano
Curateurs et coordinateurs : Giulio Barazzetta, Renato Capozzi, Francesca Patrono avec Claudia Sansò et Mirko Russo
Catherine Sayen, présidente de l’Association Les Pierres sauvages de Belcastel Toulouse
Responsables de l’exposition à l’EPFL Institut d’architecture et de la ville – laboratoire de construction et conservation (Luca Ortelli et Mathias Depierraz)
Avec la contribution de Jonas Kuratli et Marie Le Drean, architectes diplômés EPFL
UNE EXPOSITION ITINERANTE ET CROISSANTE
L’exposition a inauguré son voyage au palazzo Gravina à Naples, le 19 avril 2018, elle a été ensuite accueillie à Bari, Florence, Milan, Venise, Cesena, jusqu’en février 2019. L’exposi-tion s’installe aujourd’hui en Suisse, à Lausanne et ira fin octobre en France, à Paris avant de rejoindre Rome à la fin de l’année. Il est prévu aussi qu’elle puisse être hébergée plus tard, dans des centres particulièrement importants pour la culture architecturale européenne et méditerranéenne comme Madrid, Saragosse et Alger. C’est par son caractère de proposition et de recherche que cette exposition est itinérante. Dans ses voyages elle se propose de gran-dir et de générer des occasions d’échange et de discussion sur les thèmes qu’elle questionne.
L’APPORT DE LAUSANNE : LA PIERRE BANALE
Profitant du caractère exploratoire de l’exposition, la contribution présentée propose une ouverture vers les travaux d’une trentaine d’architectes contemporains de Fernand Pouillon qui ont construit des milliers de logement en pierre massive à Paris entre 1948 et 1973. La connaissance de ces projets permet ainsi, non seulement de mieux saisir l’originalité de l’œuvre de Pouillon, mais aussi de le situer dans le contexte historique du développement de la construction en pierre industrialisée d’après-guerre. Un nouveau regard sur ce type de construction est proposé à travers des œuvres «anonymes», ancrées dans le quotidien des quartiers et banlieues parisiens.