A noter :
La mise à jour des systèmes est INDISPENSABLE d’un point de vue sécurité.
L’outil tel que yum peut la rendre plus facile, mais non résoudre tous les problèmes liés aux mises à jour :
effets de bord, problème des librairies, problème de l’indispensable redémarrage de la machine s’il y a mise à jour du noyau, etc.
Attention : pour Fedora, “durée de vie” d’une version COURTE
FC: pirut, pup
Mai 2006 : nouveaux outils graphiques
S’appuient sur yum, cf. ci dessous, il faut configurer yum
Recommandé : yum
yum est un gestionnaire de paquetage, uniquement commande en ligne, MAIS pirut et pup s’appuient sur la config. de yum
Configuration pour Fedora :
Fichier de configuration général : /etc/yum.conf . Mais : les emplacements des serveurs à consulter sont désormais dans le répertoire
/etc/yum.repo.d
- Un fichier fedora.repo pour l’emplacement des paquetages de la distribution de base
- Un fichier fedora-updates.repo pour l’emplacement des paquetages de mise à jour.
Configuration possible :
On peut se contenter d’indiquer dans ces fichiers l’emplacement d’une liste de serveurs (remplacer n par le numéro de version) :
Fichier fedora.repo
[base]
name=Fedora Core $releasever - $basearch - Base
mirrorlist=ftp://linuxline/fedora/yum-fn/local-base
enabled=1
gpgcheck=1
Fichier fedora-updates.repo
[updates-released]
name=Fedora Core $releasever - $basearch - Released Updates
mirrorlist=ftp://linuxline/fedora/yum-fn/local-updates
enabled=1
gpgcheck=1
Ne pas oublier d’importer les clés pour la vérification des paquetages : rpm –import /usr/share/rhn/RPM-GPG-KEY* surtout avec l’option gpgcheck=1
Exemples d’ utilisation :
- yum check-update : pour vérifier s’il y a des mises à jour
- yum update : pour mettre à jour les paquetages installés
- yum install package_name: pour installer un nouveau paquetage
- etc.
Classique “à la main” : rpm
L’utilisation du bon vieil outil de base rpm est toujours possible !
rpm –Fvh : option pour mettre à jour les paquetages installés
kernel
La mise à jour du noyau ne pose pas de problèmes particuliers, si ce n’est qu’il faut redémarrer le système après la mise à jour. Il est cependant toujours conseillé de conserver la précédente version du noyau, afin de pouvoir facilement retourner à cette version en cas de souci.
Procédure avec rpm :
- Trouver le nom du kernel actif :
uname -a - Installer (option -i) le nouveau kernel :
rpm -ivh kernel-nnn - Remplacer (option -F) les sources, si elles étaient installées : rpm -Fvh kernel-source-nnn
Archives patchs:
Les versions successives des “patchs” pour Fedora se trouvent sur le serveur linuxline.
Organisation des répertoires /export/mirror/F-Errata/
Pour chaque release : des sous-répertoires pour regrouper les patchs concernant i386 et kernel.