Vouloir absolument le bonheur ou le rechercher par certaines voies peut mener à des écueils. Heureusement il y a aussi des voies de passage.
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Les pièges |
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Les voies de passage |
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L’idéal, les attentes, sont un “tue-bonheur” qui mène souvent à la déception. C’est le fameux « Quand je serai, quand j’aurai… alors… » |
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« L’urgence réside dans le renoncement définitif à l’enfance et à l’adolescence, aux illusions et aux rêves impossibles… Il faut savoir laisser derrière ce qui vous détourne de l’acceptation de la réalité ». Heureux comme un Danois, Malene Rydhal. Serait-il possible d’aimer, de savourer ce qui est ? ce qu’on a ? ce que les autres sont ? |
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La recherche du bonheur peut favoriser :
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L’auto-compassion insiste sur l’humanité commune. Comprendre que l’échec fait partie de l’expérience humaine contribue à apaiser le sentiment d’isolement et favorise le lien. Nous sommes toutes et tous dans le même bateau ! |
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La pensée positive, vendue comme une voie vers le succès, essaie souvent, sans le pouvoir, de supprimer les pensées « négatives ». Or ce qu’on veut ignorer tend à grandir. Ces démarches insistent sur la responsabilité individuelle et donnent une illusion de contrôle. La personne qui « échoue » peut être blessée deux fois : par l’échec et par le sentiment de sa culpabilité.
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Plutôt que de refuser les pensées négatives, prendre un peu de distance « J’observe que j’ai la pensée que… », et se focaliser sur ses ressources. La réussite est un cadeau, non un dû. La lucidité est une clef pour comprendre que le résultat de nos actions ne dépend pas entièrement de nous. Apprenons donc à lâcher prise. |