Le Master en Mathématiques est orienté vers différents domaines des mathématiques (algèbre, analyse, probabilité, théorie des nombres, géométrie et topologie). Le niveau et la variété des cours suivis permettent d’acquérir une grande maîtrise des outils mathématiques fondamentaux et du raisonnement abstrait, ainsi que d’entrevoir divers domaines d’application.

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Le Master en Ingénierie mathématique est orienté vers les applications des mathématiques (recherche opérationnelle, probabilité appliquée et processus stochastiques, statistiques, analyse numérique et calcul scientifique). Les étudiantes et étudiants deviennent des spécialistes de l’analyse de problèmes complexes nécessitant abstractions, extractions de paramètres pertinents, simulations du système étudié, prédictions et comparaisons des résultats avec la réalité. Ce programme comporte également un stage d’un semestre en industrie.

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Le Master en Statistiques forme les étudiantes et étudiants à la pensée statistique, à la visualisation et aux méthodes de calcul en statistique, et à leur application à l’analyse de données. Les cours offrent une combinaison de connaissances théoriques, d’expérience des techniques de calcul de pointe et de compétences pratiques en matière de travail d’équipe et de communication qui feront des diplômées et diplômés des collaboratrices et collaborateurs précieux dans tout environnement riche en données.

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D’autres programmes sont également proposés après la réussite du Bachelor, notamment certains Masters interdisciplinaires.
Plus d’informations sur les programmes d’études Master.

Je travaille chez UBS, à New York. J’ai toujours aimé voyager et découvrir de nouvelles cultures: j’ai grandi au Tessin, j’ai fait mon travail de Master en Australie et j’ai déménagé à Zurich pour le travail. Lorsque mon chef m’a proposé d’aller aux USA, j’ai tout de suite saisi cette opportunité.

J’adore les challenges. Lorsque j’ai terminé l’EPFL, j’avais deux propositions de travail: l’une dans l’industrie et l’autre dans la finance. J’ai choisi la finance. Cela me permettait d’une part d’aller à Zurich et d’apprendre la troisième langue nationale. D’autre part, en période de crise, ce domaine était particulièrement stimulant.

Chez UBS, je travaille comme quantitative risk analyst. Cela signifie que je développe des méthodes pour estimer le risque que prend la banque lorsqu’elle octroie des crédits. Je définis par exemple différents scénarios, pour voir comment se comporte le portefeuille d’un client dans telle ou telle situation. Depuis que je suis à New York, je ne fais plus uniquement de la modélisation en tant que telle, mais j’introduis les méthodes développées en Suisse et j’explique les modèles aux personnes qui vont les utiliser et analyser les résultats. J’ai donc beaucoup d’interactions avec mes collègues, notre clientèle interne et les informaticiennes et informaticiens.

Bien sûr que les connaissances techniques acquises durant mes études sont utiles. Par exemple, lorsque je développe ou j’améliore des modèles, j’ai besoin de la partie quantitative de mon background en mathématiques. Mais ce qui joue aussi un rôle très important, c’est la méthode de travail que j’ai acquise durant mes études: réfléchir, structurer, rechercher les informations manquantes.

Je verrai dans deux ans si je veux rester aux Etat-Unis ou non. Dans tous les cas, il s’agit d’une expérience unique tant au niveau personnel que pour ma carrière.