Parallèlement au cours théorique, il est demandé aux étudiants de réaliser une œuvre graphique composée de visions d’un monde utopique aux confins du rêve et de la réalité. Le sujet de la représentation est explicitement « absurde » et la technique d’expression employée doit nous faire croire que les objets représentés sont véritablement réels. Le travail sur le paradoxe met en lumière le pouvoir dialectique et rhétorique de l’architecture. Le résultat graphique doit « raconter », non seulement l’architecture, mais aussi et surtout l’atmosphère du lieu, du rêve et de la mémoire.