Hercules Neve vu depuis l’hélicoptère © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Vue générale du camp © J. Chappellaz , CNRS/LGGE L’équipe au complet. Où est le Français ?! © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Forage avec Walter Maggi © A. Bondesan, U. Padova Seulement -40°C dans la tente couchage… Brrr ! © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Avec Walter : les soldats du pôle © J. Chappellaz , CNRS/LGGE L’équipe-forage de choc : Aldino, Walter et moi © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Prélèvement d’air dans le névé © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Un break quotidien salvateur © A. Bondesan, Univ. Padova Les montagnes trans-antarctiques depuis le hublot du C130 © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Un ange passe © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Cet endroit s’appelle “Les portes de l’enfer” : on comprend pourquoi © J. Chappellaz , CNRS/LGGE La tente de forage, sur fond de chaîne trans-antarctique © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Le glacier Aviateur entre Terra Nova Bay et Hercules Neve © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Cet endroit s’appelle “Les portes de l’enfer” : on comprend pourquoi © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Hercules Neve vu depuis l’hélicoptère © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Vue générale du camp © J. Chappellaz , CNRS/LGGE L’équipe au complet. Où est le Français ?! © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Forage avec Walter Maggi © A. Bondesan, U. Padova Seulement -40°C dans la tente couchage… Brrr ! © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Avec Walter : les soldats du pôle © J. Chappellaz , CNRS/LGGE L’équipe-forage de choc : Aldino, Walter et moi © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Prélèvement d’air dans le névé © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Un break quotidien salvateur © A. Bondesan, Univ. Padova Les montagnes trans-antarctiques depuis le hublot du C130 © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Un ange passe © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Cet endroit s’appelle “Les portes de l’enfer” : on comprend pourquoi © J. Chappellaz , CNRS/LGGE La tente de forage, sur fond de chaîne trans-antarctique © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Le glacier Aviateur entre Terra Nova Bay et Hercules Neve © J. Chappellaz , CNRS/LGGE Cet endroit s’appelle “Les portes de l’enfer” : on comprend pourquoi © J. Chappellaz , CNRS/LGGE
Novembre 1994 – Janvier 1995
Lieu : Hercules Neve, Terre de Victoria, Antarctique ; 73°6’S, 165°28’E, altitude 2960 m
Température moyenne annuelle : -33°C
Equipe de terrain 1994-95 : Maurizio Aceto (Univ. Ancona, It.), Aldino Bondesan (Univ. Padova, It.), Jérôme Chappellaz (LGGE, Fr.), Vincenzo Ebner (guide alpin, It.), Walter Maggi (Univ. Milano, It.), Giuseppe Scarponi (Univ. Ancona, It.), Luca Valenziano (Univ. Perugia & Roma, It.)
Activités : nous avons testé un nouveau carottier FS Inventor et conduit des prélèvements d’air dans le névé. De gros défauts de conception du carottier n’ont pas permis d’atteindre les objectifs initiaux du projet, le carottier coinçant à seulement 46 m de profondeur (mais nous l’avons récupéré !). Avant de nous rendre à Hercules Neve, nous avons également conduit plusieurs études glaciologiques au voisinage de Terra Nova Bay.
Mon rôle sur le terrain : j’étais en charge des prélèvements d’air dans le névé et j’aidais également au forage. Pour les travaux glaciologiques, j’ai aidé au relevé des balises au GPS.